L’histoire de l’observatoire au sommet du puy de Dôme débute à la fin du XIXe siècle sous l’impulsion d’Émile Alluard, professeur de physique à la Faculté des sciences de Clermont-Ferrand, qui propose aux pouvoirs politiques d’installer un premier observatoire de météorologie de montagne au sommet du puy de Dôme, ainsi qu’une station de la plaine rue Rabanesse à Clermont Ferrand.

Par la suite, à la fin du XXe siècle, les mesures de météorologie ont été complétées par des mesures de gaz réactifs tels que l’ozone et de particules d’aérosols (carbone suie) à partir de 1995, de gaz à effet de serre à partir de 1999 et de nombreuses autres mesures atmosphériques (radioactivité, microphysique et biochimie du nuage, etc.) depuis les années 2000. Les mesures du puy de Dôme sont complétées par le site des Cézeaux équipé d’un instrument lidar et de Opme, site rural équipé de pluviomètres et de radars

Contact : Géraldine Del Campo